Célébrons les différences avec les fêtes : Pâques à table… autrement !

Oui, Pâques, c’est le moment du chocolat. Mais pas que. Et si on le vivait autrement, ce moment pascal ? Mais quand même avec du chocolat, oui ! Promis !

Belledonne, l’équitable et le goût

La marque spécialiste de la gourmandise bio, distribuée uniquement en magasins bio, a décidé de jouer une carte à la fois ludique et tradi en toute différence cette saison. Nous avons pu goûter, et savourer, une partie de leurs nouveautés. Le cacao vient de l’île caribéenne de Saint Domingue. Évidemment, il est équitable. La filière Biopartenaire assure cela avec un réseau de 1500 exploitations partenaires.

Et ? Ça nous fait un cacao non seulement éthique mais aussi délicieux car dépourvu de la sempiternelle lécithine. La lécithine, c’est une graisse ajoutée, souvent bien saturée. C’est un émulsifiant et un stabilisant pour des produits comme le chocolat. Mais cette fois, on s’en passe.

Ainsi, le cacao retrouve sa force mais également au chocolat une certaine finesse. Alors le gros oeuf surprise de la marque – oui oui, mais sans jouet en plastique dedans même s’il contient effectivement quelque chose – n’a rien à voir avec un autre oeuf célèbre au chocolat au lait à l’extérieur et chocolat blanc à l’intérieur. Peu sucré, il sort vraiment du lot.

Et les crocobons ? Ok, ils n’ont pas la forme d’oeufs mais qui s’en soucie ? Nous avons goûté ceux qui ont un coeur en maïs soufflé. Et là aussi, c’est un oui sans réserve. L’équilibre est juste entre la quantité de chocolat qui enrobe et le maïs craquant à souhait. Et ce chocolat d’ailleurs, blanc, au lait et noir : une identité bien tranchée, un noir fruité à souhait, beaucoup de douceur pour les deux autres. Et toujours très peu de sucre. Un grand oui !

Plantin ou un mariage épatant

Au rayon chocolat autrement, ajoutons un alliage curieux, audacieux mais complètement réussi. La truffe et le chocolat. La truffe d’été et le chocolat fin. Bluffant là encore. Car vu la puissance aromatique de la truffe, on aurait pu se dire que c’était aller au casse-pipe gustatif de proposer une telle alliance. Et pourtant, ça fonctionne en diable. Nous avons pu goûter les perles croustillantes au chocolat au lait. Et là encore, parlons d’équilibre : c’est très réussi. C’est fin, on sent parfaitement la truffe, c’est évident mais le chocolat ne se laisse pas vampiriser. Et côté texture, le craquant est très agréable. Une réussite.

Et comme un bonheur ne vient jamais seul, nous avons aussi goûté la pâte à tartiner. Là encore, on ouvre le pot et la truffe d’été embaume l’atmosphère. Mais une fois mariée posée sur un support un peu neutre comme du pain ou une tartine au sarrasin (oui, on est fan ou on ne l’est pas, voir ci-dessous), le mariage est harmonieux entre saveurs cacaotées et truffesques. Vraiment à ne pas manquer.
www.truffe-plantin.com

Cassons le quotidien avec le pain des fleurs

Cette fois, ce n’est pas une nouveauté. Plutôt une astuce, un truc. Dans les marques qui sont présentes dans les magasins bio, il en est une qui existe depuis 21 ans. Et à Tasty Life Magazine, on est fan parce qu’on consomme ses produits tours les jours. Cette marque, c’est le Pain des Fleurs, avec ses multiples variétés de tartines sans gluten, goûteuses et craquantes.

Et pour l’apéritif, notre péché mignon, c’est la tartine à l’oignon avec de l’avocat juste salé et poivré dessus. Ou bien, si vous aimez, un peu de rillettes d’oie. Ok, c’est un peu curieux mais ça crée une réaction au palais, on attend vos retours. Et puis les rillettes d’oie, ça change, non ? C’est plus léger que les rillettes habituelles en tout cas. Ah et c’est aussi délicieux avec la collection des frais (nature, ail et fines herbes et/ou échalote et ciboulette), « spécialité à déguster comme du fromage », des Nouveaux affineurs, dont nous avions parlé ici.

Des bulles autrement

C’était cet hiver, on nous les avait envoyés. Et finalement, la maladie a foutu en l’air le calendrier éditorial de Tasty Life Magazine. Et la fin de l’année tout court ! On avait goûté un crémant de Bordeaux, Premius. De façon complètement brute, voici les notes de dégustation : très pétillant, très festif, sucrosité qui invite au fun, acidité douce, sympathique fruité, parfait pour l’apéritif, fruits blancs (poire au nez, litchis au goût), charpenté. Donc plutôt sympathique.

Enfin, un Prosecco blanc, donc assez atypique. Le Mionetto Prosecco Doc Treviso. Là encore, les notes de dégustation brute puisque par essence, ça fait des mois que cette dégustation a eu lieu ! Léger, élégant, fruité, fruits blancs (pêche blanche, poire), pétillante fines, un peu de gras aussi, pour l’apéro, pas astringent.

Ces deux dernières références sont, pour une fois, disponibles en grande distribution.