Ouvrons nos mirettes et nos gosiers. Le champagne n’est pas la seule boisson de fête qui existe. La preuve par quatre, avec et sans alcool, donc à consommer avec ou sans modération.
Les crémants d’Alsace, chapitre 1
Honneur aux bulles pour cette première boisson. L’AOC a fêté ses 40 ans. Et les effervescents alsaciens ne se sont jamais aussi bien portés. Allons voir pourquoi et comment ils sont fabriqués : c’est là la clé de leur succès grandissant.
Le Jurançon, chapitre 2
Deuxième boisson : un vin tranquille, venu de l’extrême sud-ouest. Il s’épanouit sur une toute petite route des vins et Henri IV en était fan, en bon Béarnais. Le Jurançon est donc un authentique vin de roi ! En doux comme en vin sec, il mérite une belle place sur vos tables de fêtes. Car foie gras et huîtres l’adorent. Et qu’ils sont très loin d’être les seuls. Parce que les exploitations sont petites et que chaque flacon a son identité. Parce que les petits vignobles et leur variété font la richesse de la France gourmande et gastronomique.
Les thés de Noël, chapitre 3
Troisième boisson : mmmmh, sentez ces épices, cette douceur, ce parfum. Le thé de Noël peut évoluer mais il demeure un régal de fin d’années, que les marques aiment à réinterpréter. Nous en avons goûté quelques uns. Et c’était vraiment chouette.
Les spiritueux, chapitre 4
La quatrième boisson est un défi. Parce que la consommation d’alcool est en chute libre, la qualité prévaut désormais au moment du choix d’un alcool fort. Les maisons de grande tradition ont compris que désormais, un grain de folie était permis, voire encouragé dans ce marché qui se réduit et devient donc de plus en plus concurrentiel. Nous avons donc sollicité un expert dans le domaine, Victor Delpierre, pour éclairer nos choix.